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Enquête exclusive : La médiocrité, l’arme de la danseuse Maya contre son ex-mari Brahim Rachiki. 

La danseuse Maryem Dbaich, plus connue sous le pseudonyme artistique Maya Dbaich, dès sa séparation avec son mari Brahim Rachiki en juin 2022, a provoqué via son compte Instagram, un vrai tollé sur les réseaux sociaux, qui génère depuis, des millions de vues et de commentaires, pour le grand bonheur des chasseurs de clics sur la toile bleue avides de ragots.

Cette rupture, qui survient cinq mois à peine après le mariage des tourtereaux, survient après une longue crise de couple, qui a perduré plusieurs semaines dans un climat survolté de mésentente. Les différends entre les époux, toujours selon Maya, la seule à s’être prononcée directement à date d’aujourd’hui, résiderait dans le fait que Brahim refuserait de compter sur lui-même en travaillant et d’assumer sa responsabilité dans la vie conjugale, et ce malgré l’assistance et la contribution de sa femme à subvenir à la moitié des dépenses de la vie commune.

Afin de mieux comprendre ce qui se passe, voici la chronologie des faits relatés par Maya et agrémentés à foison par les Youtubeurs qui commentent cette sordide affaire de près :

Tout a commencé en 2019 avec l’intention de Maya de quitter le Maroc :

Le mois d’avril 2019, la danseuse Maya a décidé de quitter le Maroc dans la perspective de s’installer définitivement en Europe, suite aux critiques virulentes et incendiaires qu’elle essuie depuis plusieurs mois sur les réseaux sociaux en raison de ses vidéos jugées osées par le public marocain. Elle recherchait ainsi à fuir le sentiment d’insécurité qu’elle ressentait de plus en plus, selon ses propres déclarations, et comptait plier bagage en compagnie de ses deux filles. 

Ce plan n’a pourtant jamais fonctionné, ou bien en raison de sa non-satisfaction des pré-requis exigés pour l’immigration légale en Europe, ou bien parce qu’elle avait changé d’avis. Le fait est qu’elle n’a jamais partagé avec son public les raisons du revirement de situation et de l’abandon du projet de l’installation en Europe.

S’en vient ensuite le voyage aux USA :
Depuis l’échafaudage du plan de quitter le Maroc, la danseuse Maya effectue des déplacements dans plusieurs pays dans le cadre de ses vacances et aussi pour animer des soirées et des évènements surtout auprès des MRE en Europe et en Amérique du Nord, là où il existe une grande concentration de marocains.

Lors de son dernier déplacement aux USA fin décembre 2021, elle anime plusieurs soirées dans lesquelles elle découvre la générosité des MRE sur place, qui la gâtent bien au-delà de ses espérances, au point où les billets des dollars américains auraient été balayés pour pouvoir être ramassés, tellement ils étaient nombreux.

Le point de non-retour et le choix cornélien : 

Avec la multiplication des soirées animées par la danseuse Maya, des youtubeurs marocains aux USA la dénoncent sur leurs Lives et dénoncent notamment le fait qu’elle gagne de l’argent sans l’obtention d’un permis de travail ni via une société enregistrée sur place. Pour information, travailler sans permis de travail aux USA et au Canada est illégal et c’est susceptible de mener à la case prison.

Prenant connaissance de sa situation problématique, et souhaitant bien évidemment continuer à gagner de l’argent aux USA, la danseuse Maya aurait alors cherché une solution rapide afin de continuer ses soirées sans encourir de risque. 

Se présente alors le futur époux Brahim Rachiki : 

Conseillée par ses copines, elle comprend que le parrainage par un époux serait la solution idéale pour lui donner vite accès à la résidence et pour lancer son business à moindre coût. La procédure d’immigration en tant qu’investisseur étant hors d’atteinte car elle nécessite plus d’un demi-million de dollars d’apport en capital et une obligation d’engager des ouvriers pour des salaires à partir de 60 000$ l’année. 

Une opportunité se présente alors à Maya, celle de Brahim Rachiki installé sur place, qui fut séduit par elle.  Entre les deux époux il n’existe pas une grande différence d’âge, les deux appartiennent à la même sphère et les points de similitude ont vite rapprochés ces deux êtres.  Leur passion commune pour la danse y étant pour beaucoup.

Danseur de métier et artiste reconnu dans la scène américaine et européenne, Brahim Rachiki est père d’un enfant. Entre les deux époux il n’existe pas une grande différence d’âge, les deux appartiennent à la même sphère et les points de similitude ont vite rapproché ces deux êtres. Échange de bons procédés plein de bonnes intentions et de bonnes volontés, suite auquel le couple s’installe dans un appartement à Los Angeles et partage les frais 50/50 de vie commune, comme le ferait tout couple de notre époque vivant aux USA.

Le torchon brûle dans le ménage : 

Après un séjour provisoire de trois semaines chez un ami de Brahim, Maya décide de louer un appartement à 3500$ le mois.

Peu après cette installation, Maya commence à faire à Brahim des reproches, à le conseiller, à lui prescrire des solutions à des problèmes qu’il ne reconnaît pas, à le pousser à s’investir dans la création du contenu sur les réseaux sociaux, dont le compte sur Instagram « MayaBrahimRachiki » et lui met une pression au quotidien telle qu’il a du mal à la supporter.

Le but de Maya serait de générer de l’argent via les réseaux sociaux en construisant l’image du couple parfait et glamour à Hollywood, loin de la réalité quotidienne du couple, adoptant des points de vue et ambitions différents.

Maya étant née au Maroc, et y ayant toujours vécu, ignore que Brahim Rachiki est un occidental sur tous les niveaux même s’il parle Darija et même si ses parents sont marocains. Il pense différemment d’elle et son comportement lui est ainsi incompréhensible. Citoyen né belge, il est modelé par le modèle éducatif occidental qui n’a absolument rien à voir avoir le marocain. De plus, il dispose d’une aisance de par son apparence et son comportement, qui lui permet d’être plus proche des occidentaux que des marocains, comme c’est le cas des enfants d’immigrés qui sont nés et qui ont grandi dans le pays d’accueil, développant un esprit différent de celui de leurs parents et du pays d’origine.

Au Maroc, les remontrances de Maya seraient passées pour de l’attention portée au couple et pour de la motivation incitative, certes faites dans une psychologie inversée et assez dures en paroles, mais tolérées à défaut d’être appréciées.

Mais auprès de Brahim, l’effet résultant était totalement opposé : Il perdit dans les trois derniers mois de vie commune 20 kilogrammes, quitte le foyer conjugal à plusieurs reprises pour fuir cette pression, dans le but de se reposer et de s’éloigner de sa dulcinée. Il part notamment au Maroc rendre visite à son père hospitalisé au Maroc le 07 juin 2022, et au retour de sa retraite forcée, Brahim lui annonça enfin sa décision de la quitter.

Le sang n’a fait qu’un tour chez Maya, ce revirement de situation lui était inimaginable et était loin de l’effet escompté. La colère de Maya allait en grandissant. Pour elle, Brahim n’était pas libre de faire marche arrière quand il le voulait. Une manière de penser qui est purement celle de la femme marocaine, qui ne colle absolument avec celle de Brahim.

Une manière de penser qui est purement celle de la femme marocaine qui ne colle absolument avec celle de Brahim.  Aux USA les lois en matière de liberté individuelle sont sacrées, et même dans le cadre d’un couple, aucun des deux ne pourrait obliger l’autre à un acte auquel il se refuse.

Nous sommes loin de la mentalité marocaine populaire – non pas celle de l’élite intellectuelle ou économique – où l’homme subit à longueur de journée les critiques acerbes et les complaintes d’insatisfaction de sa femme et parfois même des coups qu’il n’oserait jamais dénoncer par peur du ridicule, société populaire où un homme s’octroie au nom du contrat conjugal, le droit de battre sa femme meme dans la rue, sans que personne ne s’interpose.

 Aux USA, même  la notion de viol conjugal existe, le harcèlement moral est puni par la loi et le contrat de mariage reste souvent un contrat juridique sans aucun lien avec les considérations sentimentales.

Brahim en européen averti, bien informé des lois et des pratiques légales adoptées une fois que le bateau conjugal prend l’eau, commence à filmer Maya lorsque ’elle s’introduisait dans sa chambre persistant à le menacer, « au cas où », détail significatif: Le couple faisait chambre à part depuis plusieurs mois.

Serait-ce pour se prémunir en cas de grabuge ou pour préparer le divorce ? On ne sait pas comment interpréter son expression, mais le fait est que ces intentions ne semblent pas malicieuses puisqu’en ce faisant il a omis de cacher ces enregistrements que Maya découvre sur l’un de ses smartphones.

S’en suivit une ultime dispute, d’une violence telle que Brahim semblant être dans un état de peur et de panique extrême, a vomi et perdu connaissance au point de mouiller son pantalon, c’est là ou Maya, au lieu de secourir son mari, a préféré ouvrir son smartphone et vérifier ses changes et c’est là où elle découvre les enregistrements.

Suite à cet incident terrible, Brahim et Maya ont fait le déplacement chez le Shérif (Le chef de la police locale) pour tirer au clair l’accusation de Brahim par Maya de l’enregistrer à son insu, suite à quoi Brahim quitta définitivement le foyer conjugal et décida de retirer son parrainage pour la résidence de Maya.

Maya se lance alors dans sa diffamation à travers des vidéos en ligne sur Instagram et parle de cette histoire. La motivation derrière ce pas reste mystérieuse, Maya a-t-elle commencé ces vidéos pour panser son égo blessé ou pour communiquer avec Brahim qui l’a tout simplement bloqué de toute communication avec lui.

Le fait est que, ces vidéos ayant commencé sur le ton du choc et de l’incrédulité de Maya face à la situation, se justifiant et expliquant ses gestes, qui donnaient plus l’impression d’avoir affaire à une femme amoureuse désirant récupérer son mari, ont changé d’aura depuis, pour être finalement chargées de courroux, d’émotions négatives, de propos incendiaires et de menaces de vengeance, telle que seul le discours d’une femme délaissée et vindicative pourrait contenir. 

Je t’aime, moi non plus : 

Maya toujours branchée sur le codec marocain, ne comprend pas ce qui se passe. Elle se lance alors dans des vidéos en ligne sur Instagram et parle de cette histoire. La motivation derrière ce pas reste mystérieuse, Maya a-t-elle commencé ces vidéos pour panser son égo blessé ou pour communiquer avec Brahim qui l’a tout simplement bloqué de toute communication avec lui ?

Le fait est que, les vidéos ayant commencé sur le ton du choc et de l’incrédulité de Maya face à la situation, se justifiant et expliquant ses gestes, qui donnaient plus l’impression d’avoir affaire à une femme amoureuse désirant récupérer son mari, ont changé d’aura depuis, pour être finalement chargées de courroux, d’émotions négatives, de propos incendiaires et de menaces de vengeances, telle que seul le discours d’une femme délaissée et vindicative pourrait contenir.

Dans ses vidéos elle parle d’avoir engagé deux avocats, ce qui semble peu crédible car en Amérique du nord un avocat spécialisé coûte 300$, l’équivalent de 3000 dhs l’heure, incluant les échanges téléphoniques avec sa cliente, la lecture des documents, la rédaction des procédures et les déplacements au tribunal. Ce qui semble loin des moyens financiers de Maya. Elle dit aussi avoir amassé les enregistrements que Brahim avait fait d’elle et les témoignages de ses amis.  

Dans cette histoire de dispute conjugale somme toute banale, on finit cependant par avoir un résultat surdimensionné par effet de boule de neige que seuls les réseaux sociaux permettent de réussir, à travers les partages successifs, à large portée et les tag des uns et des autres, répandant l’histoire comme un virus virulent.

Maya retourne à son terrain d’influence, les réseaux sociaux, et lance une campagne de diffamation contre son ex-mari. Elle se donne ainsi le droit de diffamer au quotidien sans gêne et d’étaler sa vie privée.

  • Elle revient ainsi aux classiques de la diffamation chez les marocains, les mêmes accusations que l’on retrouve dans plusieurs campagnes de diffamation sur la toile et notamment lancées par les femmes contre des hommes :
  • Elle remet en question sa virilité et insinue qu’il serait homosexuel;
  • Elle nous apprend ainsi que Brahim aurait pratiqué des rituels de sorcellerie, et qu’il l’aurait obnubilé ainsi avec son énergie magique, la soumettant à une escroquerie sentimentale!
  • Elle surenchérit disant que Brahim l’aurait exploité et aurait vécu à ses dépens, qu’il serait fainéant et bras cassé.
  • Elle met en question sa compétence artistique, déclare qu’il est simple monteur et loin d’être un artiste.
  • Elle dénonce qu’il ait enregistré ses conversations quand elle se trouvait chez elle, et qu’il serait bipolaire.

Par peur d’une deuxième poursuite contre elle, pour diffamation cette fois, Maya utiliserait selon les youtubeurs, le pseudonyme ‘chafiqua’ pour continuer son offensive. Tentative vaine, même si avérée, car les propos filmés de Maya seraient suffisants à son ex-mari pour une éventuelle poursuite, sans recourir aux propos supplémentaires écrits par des pseudonymes.

Elle a été depuis avisée par un Shérif, qui lui a remis un « restraining order » (ordonnance d’éloignement), lui interdisant de s’approcher de Brahim, et lui ordonnant de cesser toute diffamation à son sujet. A ce jour la danseuse Maya continue de le diffamer et d’enfreindre ainsi cet ordre.

Brahim serait-il en faute? 

Un avocat spécialisé au Canada, pays qui présente de nombreuses similitudes sur le plan réglementaire avec les USA, nous a confirmé que la défense de Maya serait farfelue, car Brahim a pleinement le droit d’enregistrer ce qu’il veut chez lui, par précaution s’il a peur de son ex-épouse.

De plus, les témoignages en faveur de Maya, pèseraient uniquement pour 15% dans le dossier, pas plus ! On est encore loin de la réglementation marocaine qui a impacté le mode de pensée du peuple et même sa linguistique.

Dans ce sens, on pense tous à la fameuse expression marocaine : « Ramène 12 témoins » ! Facteur déterminant qui ferait pencher la balance du côté de celui qui dispose de ces témoins, contre vents et marrées et parfois même contre des preuves tangibles comme un contrat adoulaire.

Si Brahim décide d’intenter une poursuite en diffamation contre Maya, celle-ci risque de s’en mordre les doigts, la sentence pourrait être le versement d’un million de dollars en dommages au minimum, surtout avec la notoriété actuelle de Brahim dans la sphère artistique américaine et ses récentes réalisations, et la confirmation dans plusieurs vidéos de la gentillesse de Brahim et son image d’ange. 

Brahim est chorégraphe, acteur et directeur artistique. Au cours de l’année 2021, il a joué dans deux films : Redemption Day et Embrace. Brahim a également une carrière de chorégraphe réussie : Certaines de ses chorégraphies célèbres en tant que réalisateur sont This Is It de Michael Jackson, Sticky & Sweet de Madonna, The Canterville Ghost, C’est Tout pour Moi et Les Indes Galantes de Michael Jackson. A la télé, il a joué dans un épisode de Accountable (2019), un épisode de Strange Angel (2019) et deux épisodes d’Abracadabra (2020). Au total, Brahim a joué dans cinq films et trois émissions de télévision jusqu’à présent. Il a  collaboré en 2020 avec Saad Lamjarred et Asma lmnawar dans le festival Mawazine, et il ambitionne de créer un programme artistique pour les jeunes au Maroc.

Le renversement du tour de magie sur son magicien : 

Malgré l’obstination de Maya, peu de fans en croient dans son histoire, bien au contraire, ils se sont ouvertement moqués d’elle.

Les chasseurs des clics ont fait de cette affaire un nouveau tremplin pour avoir plus d’abonnés et de clics sur leurs pages Facebook et sur YouTube aux dépens de Maya. Au point que cette dernière a déclaré vivre mal cette pression médiatique des réseaux sociaux.

Plusieurs pensent que le déballage de cette affaire sur les réseaux sociaux serait motivé simplement par le gain pécunier généré par le trafic et son convertissement en dollars. Le nouveau projet de Maya, celui de créer une plate-forme privée semble confirmer cette thèse.

Maya s’auto positionne comme étant « la crème de la crème » de la société, traite ceux qui ne sont pas d’accord avec sa version de l’histoire de moins que rien, d’illettrés, sales et bêtes ! Ses insultes qui pleuvent dans ses vidéos adressées à l’audience constituent la norme pour Maya. La haine semble être le moteur dans ces vidéos. 

Maya met en avant ses relations au Maroc et son réseau d’amis, pour prétendre au statut d’une personne exceptionnelle, mais la réalité en est bien différente, car dans la culture marocaine, une danseuse, même si elle bénéficie des largesses des plus nantis, reste un personnage de l’envers du décor avec qui ces personnes d’influence précitées, rechignent à apparaître au grand jour.

Comme dans le cas récent de l’actrice Amber Heard contre son ex-mari Johnny Depp, ce déballage de Maya de sa vie intime sur les réseaux sociaux et l’étalage de ses vociférations preuves de sa personnalité vindicative et véhémente, ne va surement pas améliorer son image auprès de sa clientèle sélecte.

Cela pourrait même être la goutte qui fait déborder le vase et le coup de grâce pour toute carrière éventuelle dont elle aurait pu rêver en dehors des fêtes privées bien arrosées des nouveaux millionnaires marocains.

 Encore la tête dans le guidon et dans le déni total, Maya ne semble pas réaliser qu’elle risque gros aux USA, et qu’elle fera les frais de la dichotomie entre les deux cultures marocaines et américaines si elle ne bat pas vite en retraite au lieu de continuer sa campagne de diffamation contre son ex-mari, à ses risques et périls.

A l’heure actuelle, Brahim Rachiki refuse de participer à ce déballage public sordide de sa vie personnelle et garde le silence en tout honneur.

Dr. El Amine SERHANIhttp://www.origines-hebdo.ca
El Amine SERHANI, est journaliste, membre de l’Association Canadienne des Journalistes depuis le 16 novembre 2020 sous le numéro de membre : 57044868. Au-delà de sa formation universitaire, il a suivi une formation dans le journalisme au centre CNFDI - Groupe JPL, Etablissement privé déclaré auprès du Ministère de l'Education nationale en France et membre de la Fédération Européenne Des Ecoles (FEDE) et ce depuis le 19 octobre 2020 ainsi qu’à HEC en marketing digital. L'expérience du journaliste et grand reporter de El Amine, a commencé dans le cadre du journal des étudiants à l’âge de 19 ans à l’Université Mohamed V, l’Université Hassan II et l’école française des affaires au Maroc ainsi que dans l’hebdomadaire « le Canard Libéré » entre 2008 et 2010. Il a continué depuis 2010 en rédigeant des centaines de rapports et papiers établis dans plus de 134 pays, parmi lesquels la rédaction et l’édition de 14 livres sur les thèmes suivants : Rituels et traditions marocaines, promotion territoriale, économie numérique, etc. Dr.SERHANI, finalise une grande étude sur la communauté marocaine établie au Québec, sur la base d’entretiens de plus d’une heure, menés avec plus de 1600 personnes de cette communauté. Depuis fin décembre 2018, Dr. SERHANI, a créé un média communautaire dédié à la diaspora marocaine établi au Canada en trois langues et sur plusieurs supports (Papier, web, mobile et les réseaux sociaux), appelé « Origines ». El Amine SERHANI, avait assuré pendant plusieurs années des missions comme consultant international auprès du Centre International du Commerce (une agence de l’ONU et l’OMC) et auprès des agences et programmes de l’union européenne. Depuis 2008, il est Président élu de la Fédération Nationale de l'Économie numérique Marocaine, et il aura collaboré avec une centaine d’instances diplomatiques marocaines dans plus de 87 pays dans les quatre coins du monde.
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